Le temps n'appartient à personne, Il t'emprisonne, te frisonne, N'en finit pas,
Comme une poupée de bois,
Tu souris, tu danses, tu penses à quoi dis-moi ?
Le trafic devant tes yeux défile,
Ainsi va la vie, ainsi va ta vie,
Notre faute est-elle celle d'y survivre ?!